Administration

Mme Christiane Verkindère-Debon.
Ancienne Première adjointe
au Maire d'Halluin, en 2001.
(Photo Mairie DD 8794 n° Img 789)
Christiane Verkindère-Debon...
Chevalier dans l'Ordre National du Mérite.
Ce Jeudi 16 Février 2012, Mme Christiane Verkindère-Debon, Ancienne Première adjointe au maire d'Halluin est décorée de l'insigne de Chevalier de l'Ordre National du Mérite, par M. Jean-Pierre Balduyck Maire honoraire de Tourcoing, Chevalier de la Légion d'honneur, en la Salle des Beffrois de la Ferme du Mont Saint-Jean Halluin, à 19 H.
Née à Halluin dans une famille modeste, enfant unique, Christiane Verkindère fréquente l'école Sainte-Marie et poursuit sa scolarité à Tourcoing. C'est l'époque où les études supérieures sont réservées aux garçons. Mais la jeune fille, qui rêvait d'être médecin, gagne l'assentiment de son père, sculpteur sur bois, et de sa mère ouvrière textile.
Elle devient institutrice . Après avoir enseigné aux écoles halluinoises, Michelet et Louise-Michel, elle assiste à la construction du collège Robert-Schuman en 1964. Lors des événements de Mai 1968, elle est déléguée syndicale SGEN-CFDT et fera grève trois semaines.
Mariée à Roland Verkindère (Professeur et Historien local), Christiane décide de reprendre, après son époux, le chemin de l'université à 34 ans avec l'objectif (atteint) de devenir "certifiée". Deug, licence, maîtrise et CAPES, elle enchaîne les diplômes pour devenir professeur de lettres et d'anglais.
Le couple a deux filles, l'aînée, qui a commencé ses études de médecine à 16 ans, est cardiologue. Sa soeur est chef d'entreprise en Angleterre. Cinq petits-enfants complètent l'album de famille.
C'est à Roncq, au collège Paul Éluard, que Christiane Verkindère déroule l'essentiel de sa carrière, 20 ans, comme professeur d'anglais. Pourquoi l'anglais ? Grâce au flamand qui a bercé toute son enfance.
En 1989, la vie politique l'appelle au côté d'Alexandre Faidherbe, maire PS, comme conseillère municipale et porte-parole du groupe socialiste, puis comme adjointe à l'action économique en 1992.
Christiane Verkindère prend les dossiers à bras le corps au point d'envisager un temps une licence de sciences économiques. Mission locale, Institut de l'éducation permanente, Centre interinstitutionnels de bilans de compétences... Elle répond à toutes les sollicitations. Tissavel, Geerland, Bodez, Gratry, Pacofa, Bonduel...
Le Conseil Municipal élu en Mars 2001.
Au 1er rang, Christiane Verkindère Première adjointe,
à la droite du Maire d'Halluin Jean-Luc Deroo.
(Photo Mairie DD 8795 n° Img 790)
En 2001, elle repart en campagne pour les municipales au côté de M. Jean-Luc Deroo. Première adjointe, Christiane Verkindère s'occupe notamment de la formation permanente, l'insertion économique, des entreprises, des commerces et de l'artisanat. Conseillère communautaire, elle participe à la création du Plan local de l'insertion et de l'emploi, et devient également présidente du comité de bassin d'emploi.
En 2008, elle quitte la vie publique pour être auprès de son mari atteint par la maladie. Roland Verkindère ne tarde pas à l'entraîner au sein de l'association des seniors qu'il préside.
Parti en 2011, l'ancien membre de l'association "A la recherche du passé d'Halluin" ne partagera pas la joie de voir son épouse, Christiane, décorée dans l'ordre national du Mérite.
À l'aube de ses 73 ans, Christiane Verkindère reste aujourd'hui présente au sein de l'Association des seniors, d'Interm'aide et des Ateliers mémoire. Elle ne rate jamais l'aquagym et prend plaisir à jardiner, sa véritable passion.
16/2/2012.
Commentaire et Photos : Presse - Mairie - Daniel Delafosse
Mme Denise Dansette-Dhuyvetter.
(Photo DD 8730 n° Img 733)
Le Pôle Halluinois Petite Enfance,
dénommé « Denise Dansette Dhuyvetter ».
Le 27 octobre 2006, M. Jean-Luc Deroo, Maire de la Ville d’Halluin, inaugurait officiellement le nouveau Pôle Enfance, dénommé « Denise Dansette-Dhuyvetter », en présence de M. Bernard Derosier, Président du Conseil général du Nord.
Le Pôle Enfance d’Halluin, rue Arthur Dennetière,
a ouvert ses portes au public le 1er mars 2006.
(Photo DD 8732 n° p1030500 jpg)
Il comprend une salle de psycho-motricité, une salle d’activités, une cuisine, un bureau pour la directrice et son assistante, une salle de réunion des assistantes maternelles, un bureau pour l’éducatrice et une salle de consultation.
Ce pôle accueille les parents pour les démarches administratives (inscription, paiement, échéancier, carnet de vaccination…).
Pôle Halluinois Petite Enfance :
Crèche Familiale, rue Dennetière - 2006.
(Photo 8731 n° Img 735)
Pilier de la vie sociale et associative halluinoise, Denise Dansette née Dhuyvetter le 8 janvier 1922 à Halluin, était, dans sa jeunesse, présidente du Mouvement de la Jeunesse Ouvrière Chrétienne d’Halluin. C’est là qu’elle fait connaissance de son mari Emile Dansette président de la section de Bousbecque, qu’elle épousera à Halluin le 1er Août 1947.
Elle commence à travailler à l’âge de 14 ans, en atelier de confection aux Ets Loridan à Halluin. Elle reste dans cet atelier de confection jusqu’en 1939. Puis Denise sert au Secours National pendant la guerre, et se retrouve aide-familiale à l’association familiale d’Halluin de 1942 à 1951.
Son engagement au sein de la politique municipale débute aux côtés de M. Charles Vanoverschelde (ancien maire d’Halluin). Elle devient conseillère municipale de 1964 à 1971, puis adjointe à l’action sociale de 1971 à 1983, alors que ce sont respectivement MM. Albert Houte et Henri Leveugle qui exercent la fonction de maire.
De 1983 à 1989, elle est de nouveau conseillère municipale, mais cette fois dans l’opposition halluinoise, pendant le mandat de maire de M. Albert Desmedt.
C’est à l’initiative de M. Henri Leveugle, qui se souciait d’animer la vie de la maison de retraite du Mont, quelque peu monotone, que Mme Dansette fonde l’association « La Colline aux Amis », qui depuis apporte régulièrement une touche de gaieté et de bonheur au sein de la maison de retraite.
Elle sera également cofondatrice de l’association « Halluin-Voyages-Amitié », qui depuis 1983, propose chaque année aux retraités d’Halluin de nombreux voyages en France et à l’Etranger.
Avec son mari Emile Dansette, elle fêtera ses noces d’or le 4 novembre 1997 entourés de leurs quatre fils et sept petits-enfants.
Toujours présente mais discrète au sein de différentes associations, notamment dans le comité de gérontologie.
Mme Denise Dansette est décédée le 7 janvier 1999 à Warneton (Belgique), à l’âge de 77 ans.
A l’annonce du décès de cette figure bien connue de la commune, la presse locale concluait par ces mots :
(…) « Elle reste un exemple de l’engagement dans la vie politique et sociale, pour faire le bien autour de soi, et non par ambition personnelle ».
22/1/2012.
Commentaire : Daniel Delafosse
Lien : brandodean.over-blog.org/ Photos Halluin.
Au dernier rang, le cinquième, Mr Charles Vanoverschelde
ancien maire, pendant son service militaire près d'Azay le rideau
(photo n° 15)
Gustave Desmettre - maire d'Halluin - photo n° 3500 |
Madame Veuve Gustave Desmettre-Desmet photo n° 3071 |
(Pour agrandir ou laisser un commentaire, cliquez sur le titre principal ci-dessus).
Elections cantonales 1987 à Halluin...
Petite électrice deviendra grande !
(Photo NE DD 20689 n° Img 460)
Il y a 70 ans.... 21 Avril 1944 - 2014 :
C'est grâce à l'amendement déposé le 21 Avril 1944
par l'ancien Halluinois Fernand Grenier,
à l'Assemblée consultative provisoire à Alger,
que le droit de vote des femmes est établi en France.
Camps de Vacances Municipaux d'Halluin, créés par Fernand Grenier,
à l'ancien stade de football, rue des Frères Martel, années 1931/1932.
(Photos n° 1223, 2863)
Fernand Grenier l’employé de la Mairie d’Halluin,
devenu Maire, Député et Ministre de l’Air !
L’histoire d’Halluin « La Rouge » est, aussi, étroitement liée au destin de Fernand Grenier. Par la suite, ce militant du Parti communiste français est rendu célèbre comme élu de la ville de Saint-Denis et par le rôle qu’il a exercé pendant la Seconde guerre mondiale comme représentant du PCF auprès du Général de Gaulle, à Londres puis à Alger.
Fernand Grenier (1901 - 1992)
(Photo VdN DD 20624 n° Img 456)
Né à Tourcoing le 9 juillet 1901, d’un père camionneur et d’une mère ouvrière du textile. Orphelin à 16 ans, il adhère au Parti communiste français à la section de Neuville-en-Ferrain à l’âge de 21 ans, juste après le Congrès de Tours, et devient secrétaire de la section des Jeunesse communistes d’Halluin.
Après avoir obtenu son certificat d’études, Fernand Grenier sera ouvrier boulanger mais aussi aide-comptable. Puis, il devient, de fait, permanent du parti sous le couvert d’un poste d’employé à la mairie d’Halluin en 1926.
C’est en novembre 1924, qu’il suit les cours de l’ « Ecole léniniste » de Bobigny et se fait remarquer par ses capacités à écrire dans les journaux syndicaux et communistes. Promu à des responsabilités au sein de la Région Nord, en 1927, il est condamné à huit mois de prison pour action antimilitariste. A sa sortie, en 1928, il poursuit son action militante.
Soupçonné de trotskysme en 1930 à cause de son amitié avec Albert Cornette, secrétaire de la CGTU, il connaît une brève période de disgrâce jusqu’en 1932 où il reprend des responsabilités dans le Nord, puis comme permanent du Comité Central, à Paris où il est chargé de l’animation de « l’association des Amis de l’URSS » fonction qu’il va conserver jusqu’en 1939. En 1933, il séjourne un mois en URSS. L’association compte 70.000 adhérents en 1936, et sa revue « Russie d’Aujourd’hui » tire à plus de 100.000 exemplaires.
Il quittera Halluin en janvier 1933, après avoir reçu en novembre 1932 un télégramme de Maurice Thorez l’appelant à Paris.
En 1935, Fernand Grenier est chargé de la reconquête de la ville de Saint-Denis. En 1937, l’ancien halluinois sort vainqueur des élections municipales, avec 4.000 voix d’avance, face au député-maire sortant Jacques Doriot.
Le 1er août 1937, Fernand Grenier devient député de Saint-Denis après avoir facilement battu le remplaçant de Doriot. A la Chambre des députés, il siège à la commission des comptes définitifs et des économies et à celle des Affaires étrangères.
Mobilisé en septembre 1939, resté fidèle au parti après le Pacte germano-soviétique, il participe en uniforme à la séance de l’Assemblée du 9 janvier 1940 en compagnie de trois autres députés de la Seine. Tous trois refusent de se lever lorsque le président rend hommage aux armées, ce qui leur vaut d’être déchus de leurs mandats de députés.
Il participe à la résistance ; arrêté le 5 octobre 1940, il sera emprisonné à Aincourt, Fontevrault et au camp de Châteaubriant d’où il s’évadera le 19 Juin 1941 pour continuer la lutte comme rédacteur à « L’humanité Clandestine ».
Il est choisi pour représenter le Comité Central lors des premiers contacts avec des envoyés de la France Libre. Il rencontre ainsi Rémy le 25 novembre 1942, et en sa compagnie, gagne l’Angleterre en janvier 1943. A cette date, Il sera délégué du Parti communiste auprès du Général de Gaulle à Londres, et chroniqueur de la BBC.
Le parti communiste présente des exigences pour la participation des communistes au Comité Français de la Libération Nationale créé par De Gaulle et Giraud le 3 juin 1943 à Alger. Ce comité deviendra le 3 juin 1944 le Gouvernement provisoire de la République Française, présidé par le Général de Gaulle.
Ce n’est que le 4 avril 1944, qu’un compromis est trouvé et que De Gaulle nomme deux commissaires communistes, dont Fernand Grenier commissaire à l’Air. Il le restera jusqu’au 10 septembre 1944.
Le conflit qu’il a avec De Gaulle à propos de l’affaire du Maquis du Vercors se traduit finalement par son remplacement par Charles Tillon au poste de commissaire à l’Air. En octobre 1944, celui-ci est nommé à la tête du ministère de l’Air.
Fernand Grenier représente le PCF à l’Assemblée consultative jusqu’en octobre 1945 où il est réélu député de Saint-Denis à l’Assemblée constituante en octobre 1945. Député de la Troisième, de la Quatrième et de la Cinquième République, il conserve cette fonction jusqu’en mai 1968. Il est également membre du Comité Central jusqu’en mai 1964.
M. Fernand Grenier (ancien employé de la Mairie d'Halluin)
qui a permis le droit de vote des femmes, il y a 70 ans.
(Photo NE DD 20703 n° Img 470)
A noter tout particulièrement dans son action : c’est grâce à un amendement qu’il dépose le 21 avril 1944 à l’Assemblée consultative provisoire à Alger que le droit de vote des femmes est établi en France.
Ceux qui l’ont connu à Londres pendant la guerre, ou plus tard, dans les instances du Parti ou à Saint-Denis parlent de lui comme d’un homme au commerce agréable et bon vivant.
Fernand Grenier est aussi l’auteur de cinq ouvrages, « C’était ainsi » et « Au pays de Staline » (1949), « Ceux de Châteaubriant (1961), «De Munich à Vichy » (1969) et « Ce bonheur-là » (1974).
Il décèdera à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) en Août 1992.
Daniel DELAFOSSE
Petit retour en arrière...
sur sa période halluinoise :
« C’est à Halluin qu’il est devenu communiste » n’hésite pas à dire Madeleine Mittenaere, militante locale du Parti communiste, conseillère municipale en 1952. Qui a toujours conservé des liens d’amitié avec celui qu’elle présente comme le meneur des jeunesses communistes locales, du temps « d’Halluin la Rouge ».
En 1978, dédicaçant son livre « Ce bonheur-là », où un chapitre est consacré à « Halluin la citadelle assiégée » il écrit : « A Marcel et Madeleine, mes bons camarades des années héroïques pendant lesquelles j’ai acquis à Halluin une inaltérable confiance dans la classe ouvrière ».
Madeleine Mittenaere a connu Fernand Grenier dès 1926, par celui qui allait devenir son mari en 1934. Alain Mittenaere est membre de la commission des jeunesses communistes :
« Tous les dimanches, ils partaient en vélo pour distribuer « l’Enchaîné » (Journalcommuniste du Nord) à Halluin, Bousbecque, Roncq et Linselles.
Elle, attendra la guerre pour prendre sa carte au Parti, mais déjà elle participe aux réunions et manifestations. Comme la plupart des Halluinois, elle a quitté l’école à treize ans et travaille comme ouvrière dans une usine de textile.
Elle est au premier rang lors de la préparation, puis du déclenchement de la grève qui paralysera toutes les usines d’Halluin du 12 septembre 1928 au 11 avril 1929.
Fernand Grenier n’est pas là au démarrage de la grève. Il a été arrêté la veille par des gendarmes qui l’emmènent purger à Loos, une condamnation datant de 1927, à huit mois de prison pour « provocation de militaires à la désobéissance ».
Madeleine Mittenaere se souvient des réunions, dont certaines avaient lieu dans une prairie, près de chez ses parents, au bout de la rue de la Lys, dans le quartier du Colbras :
« Tout le monde se groupait autour de Fernand pour éviter que les gendarmes l’arrêtent. Il parlait contre le gouvernement et contre les patrons ».
Dans son souvenir, il y a eu deux arrestations : « chaque fois, lorsqu’il sortait de prison, tout le monde allait l’attendre à la gare… ».
Avec sa femme Andréa Beulque, qui était couturière, Fernand Grenier habitait rue Pasteur.
Pendant la grève générale, Fernand Grenier avait eu l’idée d’organiser des soirées chantantes avec des lots provenant de dons de commerçants qui étaient mis aux enchères.
Le bénéfice allait aux familles les plus démunies. Il raconte dans « Ce bonheur-là… » comment il avait obligé son petit groupe de jeunes militants, férus de chants révolutionnaires, à apprendre dans les plus brefs délais, pour les soirées, les chants à la mode : « Ramona », « Nuits de Chine… ». Les soirées avaient lieu dans les bistrots et à la salle du Peuple.
« C’est toujours lui qui commençait la première chanson. Il commençait toujours par une chanson qu’il avait inventée : avec min pot d’papin, j’colle des affiches… Il chantait en patois tourquennois et tout le monde reprenait… C’est toujours lui qui animait. C’était lui qui pensait tout ; Il organisait aussi des bus pour les grévistes ».
Madeleine Mittenaere n’a pas oublié non plus une autre chanson qu’elle fredonne sur l’air de « Voilà les gars de la marine ». Fernand Grenier était particulièrement fier de cette comptine intitulée : «Voilà les gars des camps de vacances… » pas pour son retentissement poétique, mais parce qu’elle était née de la collaboration d’une communiste et d’un chrétien… en l’occurrence Joseph Declercq, également employé de mairie et chansonnier célèbre localement.
Fernand Grenier était sensible à tout ce qui touche à la jeunesse :
« C’est à son époque qu’on a créé à Halluin, les premiers camps d’été (l’équivalent de nos centres aérés) dans une plaine à la place de l’école Marie-Curie. Fernand amenait les enfants à la mer une fois par semaine. Parfois il y avait quatre ou cinq bus. Au moment du départ, les enfants agitaient des petits drapeaux rouges et on chantait l’Internationale. Pour goûter il y avait un biscuit et un sachet de coco ».
Fernand Grenier était également passionné de photo :
« Une fois à la Maison du Peuple, il avait présenté aux enfants un diaporama qui avait eu un succès fou. C’était intitulé « Vos enfants à l’écran ».
Et puis il y a eu l’énorme remue-ménage dans la ville, lorsque Fernand Grenier ressort des archives municipales, un rapport accablant établit quelques années auparavant à la demande du gouvernement, qui se préoccupe du taux important de mortalité infantile dans le Nord.
Halluin, choisit pour l’expertise y est gravement montrée du doigt, lorsque les médecins dénoncent le manque d’hygiène, les taudis, les privations et les bas salaires.
Là encore, les souvenirs de Madeleine Mittenaere sont vifs : « Ma mère a eu douze enfants. Huit sont morts en bas âge à cause de la misère. C’était une drôle d’époque ! ».
Voir aussi suite :
http://alarecherchedupasse-halluin.net/index.php?option=com_content&view=article&id=7383:fernand-grenier-oublie-de-tous&catid=146:elus-et-agents-municipaux&Itemid=126&lang=fr#comment-1647
5/2/2011 - 15/4/2014
Commentaire et Photos : Presse - Daniel Delafosse